Anthropic a détruit des MILLIONS de livres pour entraîner Claude !

C'est un fort sombre présage ! Les prémices d'un totalitarisme technologique ? Resaisisons-nous !

"Quand ils brûlent les livres, ils finissent par brûler les hommes"

HeinrichHeine l'avait prophétisé en 1823. Donc aujourd'hui, on ne brûle plus : on broie pour nourrir les algorithmes. Ce symbole est fort.

Cette révélation judiciaire ici nous apprend qu'Anthropic (créateur de Claude) a mené une gigantesque opération de "scan destructif" :

1️⃣ Dépensé "plusieurs millions de dollars" pour acheter des livres d'occasion en masse

2️⃣ Découpé les reliures et tranché les pages de millions d'ouvrages

3️⃣ Numérisé le contenu puis jeté tous les originaux à la poubelle

4️⃣ Téléchargé parallèlement plus de 7 millions de livres piratés

Pour diriger cette destruction massive, ils ont recruté Tom Turvey (ex-Google Books) avec pour mission d'obtenir "tous les livres du monde".

Pourtant, des alternatives NON-DESTRUCTIVES existent !
✅ Scanners haute performance : 250 pages/minute SANS abîmer les livres
✅ Patrimoine numérique : Harvard University propose 1 million de livres gratuits
✅ Partenariats respectueux : OpenAI/Microsoft préservent soigneusement les manuscrits du 15ème siècle

Ok. L'entraînement des IA atteint des sommets vertigineux :

🔹️GPT-4 : 100 millions de dollars
🔹️Google Gemini : 190 millions
🔹️Prochains modèles : 1 milliard prévu

Mais à quel prix culturel ? Pourquoi choisir la destruction quand on peut préserver ?

Un juge américain a validé cette destruction au nom de l'"usage raisonnable", estimant l'entraînement d'IA "extrêmement transformateur".

Cette décision ouvre la voie à l'industrialisation de la destruction culturelle au nom de l'innovation.

Claude lui-même, interrogé sur ses origines, répond poétiquement :
"C'est comme être construit à partir des cendres d'une bibliothèque"

L'ampleur du drame est là : des millions de livres sacrifiés pour créer des algorithmes.

STOP ! Il faut tracer une ligne rouge MAINTENANT

Cette logique destructrice risque de s'étendre à :

🔹 Nos archives personnelles
🔹 Les bibliothèques publiques
🔹 Les œuvres rares et uniques
🔹 Tout patrimoine jugé "non-rentable"
Demain, des supports biologiques ? Du bioware ?

Les questions qui dérangent
Que dira l'Histoire de cette époque où nous avons broyé des millions de livres pour nourrir nos machines ?

Où traçons-nous la limite entre innovation et vandalisme culturel ?

Acceptons-nous que des "junkies de la data" décident seuls du sort de notre héritage ?

L'appel à la résistance
La technologie doit servir l'humanité, pas dévorer son patrimoine.

C'est MAINTENANT qu'il faut dire NON à cette dérive avant qu'il ne soit trop tard.

Car derrière ces livres détruits se cache un projet plus vaste : faire de l'IA l'unique gardienne de notre savoir.

L'Histoire nous enseigne qu'il faut parfois savoir dire "STOP" avant le point de non-retour.

Ce n'est pas un "détail".